HtmlToText
bienvenue sur mon blog: ce blog est dédié à tous les enfants, mais aussi aux parents, aux adultes qui veulent les protéger, les rendre heureux pour qu’ils puissent s’épanouir et devenir des adultes responsables et heureux à leur tour signaler, ce n’est pas dénoncer, c’est protéger 7 mars 2009 « signaler, ce n’est pas dénoncer, c’est protéger » cette citation est du pédopsychiatre marcel rufo. il a parlé de la maltraitance dans l’émission « le mieux c’est d’ en parler », le dimanche 22 février à 17h10, sur france 3. je vous conseille de revoir cette émission et même de voir ce programmme qui est diffusé tous les dimanches, car on parle de tout ce qui concerne les relations parents-enfants, sans tabou, ni voyeurisme, avec des témoignages, mais aussi des conseils et des explications claires. posté dans émissions | aucun commentaire » les associations 10 février 2009 ca va mal… ose en parler allô ecoute ado prévention du suicide chez les jeunes, mais aussi au travail et chez les personnes âgées. en auvergne: numéro vert (gratuit depuis un poste fixe): 0 800 506 692 du lundi au samedi de 17h à 20h www.alloecouteado.org posté dans non classé | aucun commentaire » enfants: c’est permis ou interdit ? 15 novembre 2008 article paru dans « version fémina » education un enfant a le droit d’être éduqué dignement, de recevoir des soins appropriés. ses parents sont les garants de cette mission que la loi nomme « autorité parentale ». on ignore souvent qu’ils doivent associer l’enfants aux décisions qui le concernent: choix de l’école, apprentissage d’une langue, pratique d’un sport, selon son âge et son degré de maturité. vie privée votre enfant a le droit, comme un adulte, à son intimité. il peut avoir sa vie personnelle, sous la responsabilité de ses parents bien évidemment. si votre enfant reçoit une carte postale ou un appel téléphonique, de son meilleur copain, sa vie privée doit être respectée. de même, il a le droit d’entretenir des relations avec ses grands-parents, même si vous êtes en bisbille avec eux. shopping il a le droit d’effectuer seul un achat, à condition que le montant soit raisonnable au regard de son âge et de ses moyens financiers ( l’argent de poche ). divorce des parents un mineur capable de discernement ( dès 11-12 ans ) a son mot à dire lors du divorce de ses parents, notamment pour le choix de sa résidence habituelle. un enfant peut donc demander au juge des affaires familiales à être entendu. dans ce cas, il a le droit de se faire assister ou représenter par un avocat et il bénéficie de l’aide juridictionnelle en totalité. attention ! si le juge a l’obligation de l’entendre, il ne suivra pas obligatoirement son avis . travail l’âge légal pour entrer dans la vie active est fixé à 16 ans. avant, un enfant n’a pas le droit d’exercer un vrai travail. des dérogations existent, mais elles sont strictement encadrées. c’est le cas si votre enfant est repéré pour une séance photo ou un défilé de mode. l’agence doit être titulaire d’un agrément préfectoral et si l’enfant a entre 3 et 6 ans, il peut travailler 2 heures par jour maximum, avec votre accord, pas plus. banque a partir de 12 ans, vous pouvez ouvrir un livret jeune pour votre ado. mais s’il veut retirer de l’argent, il doit avoir votre feu vert. ce n’est qu’à partir de 16 ans qu’il pourra disposer d’un compte courant, avec la possibilité pour lui d’utiliser librement sa carte de retrait. mais avant ses 18 ans, le fonctionnement de son compte est sous votre entière responsablité. justice en cas de très grosse bêtise ou de crime, un mineur, quel que soit son âge, peut être interpellé. s’il a moins de 10 ans, il ne peut être retenu dans les locaux de la police. a partir de 13 ans, il est susceptible d’être placé en garde à vue. reste que, protéger ses droits, l’interrogatoire d’un enfant doit faire l’objet d’un enregistrement audiovisuel. enfin, sachez qu’un mineur est responsable pénalement à 13 ans et encourt une peine de prison. association un mineur a le droit de créer une association ou d’y adhérer avec l’accord explicite de ses parents. pour résoudre les difficultés juridiques liées à leur âge, il existe un réseau national, junior association , qui permet, notamment aux enfants, d’être acompagnés dans l’ouverture du compte bancaire de leur structure: le réseau se porte garant après habilitation. posté dans non classé | aucun commentaire » la loi face aux délinquants sexuels et criminels d’enfants 18 octobre 2008 les lois la convention internationale des droits de l’enfant mentions légales | crédits le dispositif français de protection de l’enfance s’est progressivement renforcé et strucutré au cours de ces deux dernières décennies. en effet, sous l’influence des professionnels de l’enfance, des politiques sensibilisés à ce problème et de la convention internationale des droits de l’enfant, le législateur a largement œuvré pour faire progresser l’aide apportée aux victimes de maltraitance. plusieurs lois constituent la base de ce dispositif. 1. le 10 juillet 1989 est votée la premiè grande loi de protection de l’enfance (loi n°89-487 du 10 juillet 1989, publiée au journal officiel du 14 juillet 1989). ministère de la justice cette loi vise plusieurs objectifs : coordonner l’action des différents autorités compétentes, administratives et judiciaires. faciliter le processus de déclenchement des mesures de protection par la création de « allo enfance maltraitée », numéro téléphonique national (119), géré par le service national d’accueil téléphonique pour l’enfance maltraitée « allô enfance maltraitée ». favoriser l’exercice des poursuites par les victimes. d’une part, est institué l’administrateur ad hoc. il est chargé d’exercer au nom du mineur les droits reconnus à la partie civile lorsque ses intérêts sont contraires à ceux de ses parents (parents maltraitants par exemple). d’autre part, sont modifiées les règles de prescription en matière criminelle. les mineurs victimes de crime (viol, violences ayant entraîné de graves séquelles physiques, meurtre…) commis par un ascendant ou par toute personne ayant autorité bénéficient du report à leur majorité du point de départ du délai de prescription, qui est de 10 ans. 2. une loi du 4 février 1995 (loi n° 95-116, publiée au journal officiel du 5 février 1995) étend à certains délits (agressions sexuelles, violences…) le report du point de départ à la majorité du délai de prescription de 3 ans pour les victimes mineures. 3. le 17 juin 1998 est votée la loi relative à le prévention et à la répression des infractions sexuelles ainsi qu’à la protection des mineurs (loi n° 98-468 du 17 juin 1998, publiée au journal officiel du 18 juin 1998, et ses décrets d’application). cette loi comporte deux volets : le suivi socio-judiciaire des délinquants sexuels et le renforcement de la défense et de la protection des victimes. les principales dispositions de cette loi concernant les victimes sont : l’extension du rôle de l’administrateur ad hoc qui a la possibilité d’être désigné par le procureur de la république ou le juge d’instruction dès que la protection des intérêts de l’enfant n’est pas assurée par ses parents. la création d’un fichier centralisant les traces génétiques ainsi que les empreintes génétiques des personnes condamnées pour une infraction à caractère sexuel. l’enregistrement audio-visuel de l’audition de l’enfant victime lors de l’enquête afin d’éviter les répétitions. la possibilité pour l’enfant d’être accompagné lors des auditions et confrontations par un membre de sa famille, un psychologue ou médecin spécialistes de l’enfance, son représentant légal ou encore l’administrateur ad hoc. la modification des modalités de la prescription : en matière criminelle, le report du point de départ du délai de prescription est étendu à tous les crimes, quel qu’en soit l’auteur. en matière délictuelle, l’évolution entreprise en 1995 se poursuit. le délai de prescription d’infractions à caractère sexuel commises sur des mineurs ne commence à cou